Le martinet, accessoire phare du DBSM
Je me souviens lorsque j’étais enfant que mes parents avaient un martinet. Un objet assez simple. Une poignée de bois et quelques lanières de cuir, fines et courtes. Je n’y ai jamais goûté. Il était surtout brandit comme une menace pour leur permettre de retrouver le calme. Comme une revanche sur cette objet de crainte j’ai un jour coupé ses lanières une par une … Et je me souviens du premier martinet que j’ai acheté en tant qu’adulte. Je ne sais pas si on peut vraiment appeler ça un martinet en fait. C’était tout juste une tige en plastique et quelques lanière de velours. Il n’avait de toute façon pas pour but comme à l’époque de mes parents de me faire craindre. Et il n’a finalement amusé que notre chat. Je n’avais pas idée à l’époque de ce que pouvait être un véritable martinet.
Tout une gamme de martinets
Je me souviens aussi la première fois que j’ai eu un martinet digne nom entre les mains. C’était un objet lourd, en velours rouge. Avec une poignée lassez large et longue pour assurer une bonne prise en main. Et de nombreux brins. Un accessoire facile à utiliser et efficace. Et puis, j’ai découvert le site “Flog Me Baby“, et l’expérimentation de ce genre d’accessoire. Des objets en cuir ou en latex qui “mordent”. D’autres dotés de plus de brins, plus “impactants”. Parce qu’il n’y a pas un martinet, mais tout une gamme. Il n’y a pas une façon de les utiliser non plus d’ailleurs. On ne peut pas vraiment acheter un martinet si on n’a pas en tête ce à quoi on le destine : Un objet pour chauffer lors de préliminaire ? Un objet plus proche du fouet pour infliger plus de douleur ? Un duo pour pratiquer la florentine ? Difficile aussi d’acheter si on n’en a jamais eu en main.
Adaptés a chaque circonstance
La famille des martinets offre une multitude de possibilités, une multitude de matières, et une multitude de sensations. On a tendance à penser à la douleur, mais c’est avant tout un objet qui éveil les sens. Quel plaisir de faire découvrir l’objet à son partenaire en commençant la séance par lui caresser le cou, le dos, la poitrine ou les fesses. Le velours a un touché doux et permet la caresse et l’impact. Le cuir permet d’infliger plus de douleur. Si vous souhaitez vraiment faire mal, utiliser un accessoire ayant peu de lanières en latex ou optez pour un chat à neuf queues. Dans tous les cas pensez à la gestion de votre séance et au “Ramp-up”.
Plus qu’une cravache, je conseil vraiment à ceux qui découvrent le BDSM de faire l’acquisition d’un martinet. un accessoire facile à utiliser, ni onéreux, ni dangereux à utiliser. Et qui permet vraiment de prendre beaucoup de plaisir, autant pour celui qui le donne que pour celui qui le reçoit.