
Le consentement n’est pas une option
En commençant l’écriture de cet article, je me suis surpris de ne pas avoir abordé la question du consentement plus tôt. Ou plutôt de ne […]
Suite »Site francophone de référence sur le BDSM, bondage, domination sado-masochisme
En commençant l’écriture de cet article, je me suis surpris de ne pas avoir abordé la question du consentement plus tôt. Ou plutôt de ne […]
Suite »Nous fréquentons un milieu BDSM assez jeune. Jeune pour la tranche d’âge concernée (25- 35 ans majoritairement) et jeune dans le sens “nouveau dans le […]
Suite »Au contraire des relations “classiques” (on parle alors de relations “vanilles”) les activités et les relations liées au BDSM (les relations “chocolats”) impliquent des rôles complémentaires mais inégaux : c’est dans ce cadre qu’on parle d’échange de pouvoir. L’un dominera l’autre qui se soumettra. Se soumettre n’est pas se dégrader, se rabaisser, mais prendre un rôle complémentaire. Il y a d’ailleurs une multitude de rôles possible à endosser.
La pratique du SM nécessite donc communication, confiance et consentement. Les anglo-saxons utilisent les termes de relations “Safe Saine and consented” ( SSC / pratiques Sûres Saines et Consenties) ou de “Risk Aware Consensual Kink” (RACK / Pratiques consensuelles où chacun est conscient des risques encourus).
Il faut noter également que “le milieu” se caractérise par une plus grande diversité en matière de genres et de sexualités. BDSM ne rime pas toujours avec sexe, mais la quasi totalité des pratiques touchent au corps et à l’intimité physique et psychique des participants. Le milieu est plus curieux, globalement plus libre.
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