
4 bonnes raisons pour pratiquer le BDSM
Le BDSM n’est pas quelque chose de mal, pratiqué par des gens malades ou dangereux. Au contraire c’est une somme d’activités que les “Kinksters” conscients […]
Suite »Site francophone de référence sur le BDSM, bondage, domination sado-masochisme
Le BDSM n’est pas quelque chose de mal, pratiqué par des gens malades ou dangereux. Au contraire c’est une somme d’activités que les “Kinksters” conscients […]
Suite »Subspace, bondage, aftercare … le jargon des “kinksters” (les pratiquants du BDSM) est globalement constitué de termes anglo-saxons. Pour vous aider à y voir plus […]
Suite »Le subspace, le subdrop et l’aftercare sont trois étapes que peuvent traverser les soumis pendant et après une séance bien menée. Le subspace est un état de bien être […]
Suite »Les propos ci-dessous, sont anonymes et issus d’échanges en public. Ils ont été recueillis lors du Kinky Lab – Munch à Thème N° 10 ayant eu lieu […]
Suite »Un de mes leitmotiv est “Fais ce que tu veux, mais fais le bien”. C’est pour cela que j’ai toujours tendance à montrer les côtés les plus dangereux d’une […]
Suite »Au contraire des relations “classiques” (on parle alors de relations “vanilles”) les activités et les relations liées au BDSM (les relations “chocolats”) impliquent des rôles complémentaires mais inégaux : c’est dans ce cadre qu’on parle d’échange de pouvoir. L’un dominera l’autre qui se soumettra. Se soumettre n’est pas se dégrader, se rabaisser, mais prendre un rôle complémentaire. Il y a d’ailleurs une multitude de rôles possible à endosser.
La pratique du SM nécessite donc communication, confiance et consentement. Les anglo-saxons utilisent les termes de relations “Safe Saine and consented” ( SSC / pratiques Sûres Saines et Consenties) ou de “Risk Aware Consensual Kink” (RACK / Pratiques consensuelles où chacun est conscient des risques encourus).
Il faut noter également que “le milieu” se caractérise par une plus grande diversité en matière de genres et de sexualités. BDSM ne rime pas toujours avec sexe, mais la quasi totalité des pratiques touchent au corps et à l’intimité physique et psychique des participants. Le milieu est plus curieux, globalement plus libre.
Suite »Le sado-masochisme n’est qu’un volet du BDSM. Je croise des soumise(s) qui me disent “moi, je ne suis pas maso”, privilégiant la domination à la […]
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